Mp recu pour le cadavre de la cathédrale

(en réponse à ton post sur le fofo voilà quelques indications, si tu veux me contacter IG, n'hésites pas, je serai sans doute sur Azryen )

Avec leurs investigations minutieuses sur le cadavre d'Yzène, sur sa mise en scène et les différences traces laissées, la Lumière Aveugle put enfin avoir accès aux cinq dernières minutes précédant la mort de celle-ci.

L’esprit d’Yzène semble planer encore légèrement dans les limbes, refusant encore sa fin, espérant un signe, peut être, pour pouvoir partir en paix.

Ainsi la personne enquêtant de la Lumière peut voir le visage de l'assassin d'Yzène, entendre leur dernière conversation, capter ses dernières pensés, voir les visages des dernières personnes auxquelles elle a pensé, si fort. (cf mon texte )

Au niveau de l'observation concrète de son corps rien à signaler de particulier à part évidement la trace d'un égorgement récent, sec, succinct. Les lames des poignets, légèrement recourbées, constituées d'ombres et de lumières, sont restées indemnes, extraites de leur cache, dans la mort. Des gens ayant bien connu Yzène pourront confirmer qu’il s’agit bien là de sa dépouille. Autour des lames deux serpents rouges et or entrelacés qui finissent par se tourner le dos, tatoués, le symbole des Marchombres, pour ceux qui le connaissent.

A propos de la mère, Orène de Lévangis dont le corps est fait mention dans le message laissé par la lame, ceux qui auront la curiosité de se rendre sur place pourront effectivement vérifier la présence d’un bûcher mortuaire et d’un corps calciné, qui ne pourrait hélas être authentifié.... Néanmoins le corps étant trop vieux (plus de trois jours) et trop abîmé nul enquête magique ne sera cette fois possible à son encontre. Et son esprit semble être partit en paix cette fois.

Par contre sur les lieux alentours, devant Anh’Qiraj, vous pourrez retrouver, par procédés magiques et avisés, les traces d’un rituel puissant, visiblement récent, des résidus d’ombre, mais surtout de lumière semblent avoir profondément imprégné le lieu, comme éparpillés par une force quelconque.